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Avec l’évolution des réglementations environnementales à travers l’Europe, le logo TRIMAN, basé sur la législation française, est devenu une exigence incontournable pour les industries telles que la cosmétique, les produits ménagers et l’emballage alimentaire. De nombreuses entreprises se demandent comment ces règlements affectent leurs opérations sur le marché français. Cet article explique les principales exigences du logo TRIMAN, son impact dans divers secteurs et les tendances des réglementations européennes en matière d’emballage.
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Au cours de la dernière décennie, l'industrie cosmétique a fait face à une pression croissante pour éliminer les tests sur les animaux à toutes les étapes du développement des produits. L'Union européenne (UE) et le Royaume-Uni (UK) ont tous deux mis en place depuis longtemps des interdictions complètes des tests sur les animaux pour les cosmétiques. Cependant, les évolutions récentes des pratiques réglementaires, en particulier l'intersection entre la réglementation cosmétique et les règles plus larges de sécurité chimique telles que REACH (enregistrement, évaluation, autorisation et restriction des substances chimiques), suscitent de nouveaux débats. Bien que les interdictions restent fermes, la fine ligne entre le règlement relatif aux produits cosmétiques (CPR) et REACH a conduit à des affaires judiciaires et à des appels à une clarification supplémentaire.
Depuis quelques jours, les autorités sanitaires françaises mettent en garde contre les dangers associés à certains produits de lissage capillaire, notamment ceux utilisés pour le "lissage brésilien". En cause : l'acide glyoxylique, un ingrédient couramment présent dans ces produits, qui peut entraîner des effets graves sur la santé, en particulier au niveau rénal.
Le chrome hexavalent (CrVI), identifié comme substance cancérigène, mutagène et reprotoxique sous le règlement REACH, reste largement utilisé dans l'industrie malgré son interdiction en Europe depuis 2017. L'annulation partielle des autorisations par la Cour de justice de l'Union européenne a entraîné des exigences plus strictes pour démontrer l'absence d'alternatives sûres. Cela affecte les secteurs comme l'aérospatial, où des demandes d'autorisation sont toujours en cours d'évaluation, créant des incertitudes pour les industriels utilisant cette substance.
Les produits biocides, conçus pour contrôler les organismes nuisibles, sont strictement régulés dans l’Union européenne. Le Règlement (UE) n° 528/2012 (BPR) en est la base et définit les exigences en matière de mise sur le marché, d'étiquetage et d'allégations. Cet article fait le point sur ces règles, en s’appuyant sur un webinaire récent, et explique comment garantir la conformité des étiquettes et des publicités des produits biocides.
La réglementation des ingrédients cosmétiques dans l'Union Européenne (UE) est stricte et vise à garantir la sécurité des consommateurs. Les ingrédients cosmétiques sont régis par le Règlement (CE) n° 1223/2009 sur les produits cosmétiques, où les substances préoccupantes sont classées comme interdites, restreintes ou autorisées, principalement dans les annexes II à VI.
Les termes "vert", "éco-responsable" et "durable" sont couramment utilisés sur de nombreux produits de consommation. Cependant, la Commission européenne a constaté que 40 % de ces allégations environnementales étaient non fondées. Pour lutter contre ce phénomène, la Commission européenne a établi la Directive 2024/825, souvent appelée la Directive sur les Allégations Écologiques ou récemment, la Directive sur les Allégations Trompeuses. Cette directive vise à combattre le greenwashing et les allégations environnementales trompeuses, ayant un impact significatif sur l'industrie cosmétique.